... peu importe que mes enfants m'aiment ou me détestent du moment qu'ils vont bien! S'il me détestent et que ça peut assurer leur équilibre, je suis preneur...
Dans un conflit familial ou parental, les torts ne sont jamais partagés: il y a TOUJOURS une personne plus COUPABLE que l'autre. Il faut le reconnaître, désigner le coupable.La culpabilité c'est confortable, ça permet le progrès. une fois qu'elle est reconnue, pas d'excuses, de remords à la catho: on s'explique et on paie. Dès lors on peut enfin repartir sur des bases harmonieuses. Pas de morale: des faits! Du réel!
Il n'y a rien de plus confortable que la culpabilité assumée: on se sent devenir meilleur! C'est le "beau rôle", gouleyant, savoureux, rassurant, roboratif, délicieux, confortable: miam! Et ça ne peut que faire du bien aux mômes! A condition de savoir le faire!
Ménager la chèvre et le chou, mettre tout le monde dos à dos, c'est l'échec, surtout aujourd'hui puisque ces conflits sont la règle et non l'exception...C'est con, hein? Ca remet en question, merde alors!
Aux zédukateurs: "le conflit parental, y a rien de plus formateur! Ca permet, voire ça oblige à se situer, c'est un pas vers la conaissance de soi. l'équilibre. je vais donc en remettre une louche"
J'ai osé!
les mères qui pratiquent l' "amputation du père " doivent aller en prison (et vice-versa)...après, on bosse sur soi!
Après le tribunal? Aux éducateurs: "Je suis le père, il a besoin de moi, c'est moi qui décide, je 'admets aucune critique. si je manque, ce sera terrible"...j'ai osé! chantage dé"libéré! on m'écoute, donc!
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble