Selon les informations des quotidiens, Dexia traitait ces "asset swaps" directement avec les banques centrales belge et française. La mise sous surveillance négative de l’agence Moody’s, le 3 octobre, a par la suite poussé les banques centrales à "ouvrir les vannes" via leurs crédits d’urgence leur permettant de fournir autant de liquidités que nécessaire. Mais "la fuite des dépôts a poussé cette aide de quelques milliards d’euros à plusieurs dizaines de milliards", jusqu’au démantèlement du groupe
Source : Le Soir.be