Saint du jour : Saint Sabas
Contrepèteries :Ce terrible mondain s’insinue entre les riches.
Comment peut-on dîner avec si maigre part.
Cette fois j’ai senti le bout de ses galoches
Ecartez la mouche de cette colonne
Dicton Français : La véritable amitié se voit dans le malheur.
Dicton Juif : Le meilleur prédicateur c’est le cœur, le meilleur maître c’est le temps
Dicton Africain : Quand la force suit le sentier, la vérité se couvre d’herbages
Dicton Occitan :Bal may omits en plaço, qu'arjen en bourso Mieux vaut amis en place, qu'argent en bourse
Proverbe Chinois :Etre homme est facile, être un homme est difficile.
Dicton du jour :
L'histoire de la plupart des pays a été celle de majorités piétinant des minorités dix fois plus nombreuses.
Oliver Wendell Holmes
La vie, cette maladie sexuellement transmissible
Anonyme
Les monuments du patrimoine de l’UNESCO : Quelle protection de la part de l’État ???
A chaque nouveau classement au patrimoine de l’UNESCO, les collectivités se frottent les mains car ce classement est toujours suivi de retombées économiques sur la région concernée. Mais le classement est accompagné d’un impératif d’entretien et de sauvegarde. Alors qu’en est-il de cet entretien ? Le moins qu’on puisse dire, c’est que c’est très différent d’un monument à l’autre et l’entretien est inexistant lorsque le propriétaire est l’État : les bénéfices du classement, OUI, les dépenses, NON.
Des exemples de la gestion par l’État et par les collectivités ?
Le Mont Perdu (Gavarnie) : Classé en 1997 avec une zone tampon de plus de 30.000 hectares suite à l’engagement de l’État. L’UNESCO a menacé de le déclasser déjà plusieurs fois. Un engagement rappelé à l'État français par l'Unesco à trois reprises « sans aucun effet, au mépris de toutes les convenances, ne serait-ce que celle du respect des engagements pris. ». Le mépris des élus concernés (collectivités territoriales, Etat) vis-à-vis de l’UNESCO est purement scandaleux et n'a que trop duré.
Pitons, cirques et remparts de la Réunion : classé en 2010, 105.000 hectares plus 10.000 hectares de zone tampon. Aussitôt classé, ce site vient d’être victime d’incendies provoqués et chose surprenante, on a pu voir qu’aucun bombardier à eau n’existait sur cette île. C’est encore une preuve de l’efficacité de l’État pour la sauvegarde du patrimoine.
Les Causses et les Cévennes : classé en 2011, plus de 300.000 hectares et plus de 300.000 hectares en zone tampon. On peut se demander comment l’UNESCO a pu accepter de classer cette région qui est vouée à la destruction paysagère des lobbies de l’éolien. Il n’y a qu’à regarder le massacre fait dans le parc du Haut-Languedoc juste à côté.
Et il en est de même avec l’ensemble du patrimoine Français, laissé à la dérive et à la fantaisie des lobbies divers pour lesquels un patrimoine n’a aucune valeur.
A quoi servent les Ministères de la Culture et de l’Écologie ? La question est posée !!