En ce qui concerne les dynamiques sur une journée entière, les différents contenus partagés et styles adoptés, le monde éducatif pourrait bénéficier de cette énergie.
En partant de la vision selon laquelle des étudiants constituent une audience, les choix et méthodes d'enseignements seraient sans doute différents.
La transmission de connaissance est l'impératif suivi. Et si l'on partait du cadre d'éducation fixé (contenus) et des attentes des étudiants également, que cela donnerait-il ? Quelle place pour les émotions, le visuel ? Du facteur "attention" pour mieux faire passer les messages et éléments théoriques ?
Et si, sur une session de 1h, 30 minutes étaient consacrées au professeur et son contenu, 20 min de questions-réponses et 10 minutes en discussions libres ? Et si, par la suite, un article de blog proposait une synthèse et invitait à poursuivre, à affiner les échanges ?
Pour avoir récemment testé l'approche participative du barcamp dans une école, deux points intéressants émergent :
- réduire la passivité en clarifiant le "Pourquoi" aux étudiants et en modifiant l'environnement (principes de participation = cadrage)
- intégrer l'expérience, l'esprit de jeu et stimuler les conversations entre étudiants
Demander à participer ne suffit pas.