Depuis deux ou trois jours, je suis confrontée à un nouveau problème de connexion Internet. Tout à coup, je ne suis plus branchée ! Je m’en rends compte indirectement car ma boîte aux lettres n’affiche pas de nouveaux courriels ou il m’est impossible d’accéder à un site quelconque. Je n’ai pas toujours l’œil rivé sur les voyants lumineux de la box. Cela se rétablit normalement en général si j’éteins l’ordinateur et le rallume.
Mais depuis 3 heures du matin, cela prend des proportions inimagi-nables. Cet habituel bidouillage ne suffit pas. Je fus durablement en carafe. Rideau ! Plus de son, plus d’image. J’eus beau faire : débrancher la box, vérifier tous les branchements et les prises. Bien entendu, le téléphonait ne fonctionne pas plus. Il me reste heureusement le fixe. Je me voyais repartie dans les galères du mois de septembre, ce qui me coûta bonbon - quasi 100 euros, je viens de voir passer la douloureuse ! - car le problème était matériel, nécessitant donc l’intervention du technicien in situ.
Mais il ne pouvait s’agir de cela puisque la connexion se rétablit - fort transitoirement - un peu plus tard plusieurs fois sans nulle intervention de ma part… Las ! A peine le temps d’ouvrir un article, déconnectée de nouveau ! Bien de quoi rager, je ne saurais dire combien de temps m’a fait perdre cette petite plaisanterie - l’équivalent du récurrent « Vous avez été déconnecté du service » de l’époque où j’étais connectée par l’intermédiaire d’un modem.
Je n’avais certainement pas de travail plus urgent en cours que chercher l’origine de la panne et la subir ! Pour l’instant, cela marche toujours et je ne cesse de scruter les voyants de la box. « Pourvu que ça doure » !
Pour vous donner une petite idée des sujets qui retinrent mon attention ce matin entre les pannes :
Claude Guéant évoque un contrôle de DSK au Bois de Boulogne en 2006
Affaire Karachi : Thierry Gaubert et sa mystérieuse villa colombienne
Un ex-Sage qualifie de "belle entourloupe" la validation des comptes de campagne de Balladur
Affaire de Karachi : l'ombre de Sarkozy
Pour les agriculteurs, ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé
Si vous y ajoutez que j’avais également le nez plongé dans la préparation d'un article sur le discours de Nicolas Sarkozy à Toulon, je ne manquais nullement d’ouvrage !