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Cliché I. Rambaud
Non, je ne vais pas vous parler informatique.
Simplement vous faire découvrir l'art des clôtures qui fleurissent autour de chez moi : les portes des champs.
Evidemment, tout dépend du standing et de ce qu'il y a "derrière".
Cliché I. Rambaud
Il y a bien sûr les adresses bourgeoises avec leurs grilles peintes en blanc, assez hautes pour qu'on ne puisse que lever le regard; les propriétés si vastes et si mystérieuses que parfois l'on ne voit même pas la maison. Le portail s'appuie alors sur de beaux piliers droits, bien nobles et solides.
Cliché I. Rambaud
Et puis il y a "les autres", les espaces déserts, sans maisons et qui n'ouvrent que sur les champs ou sur des cabanons abandonnés.
Pour celles-là, les vieilles portes de récupération, les sommiers et les ferroneries déglinguées sont toujours bonnes.
Cliché I. Rambaud
Celles-ci sont toutes situées "Chemin des rôles", entre Vosves et Dammarie-lès-Lys (Seine-et-Marne).
Car même à la campagne, même devant "le rien", il faut bien qu'un portail joue son "rôle". Protéger un bien, une parcelle et faire comme les grands.
Ils n'ont rien à envier à leurs nobles cousins.
Cliché I. Rambaud
Baroque ou classique, chacun a son style.
Cliché I. Rambaud
Mais mes préférés sont les plus audacieux, les colorés qui osent le mélange, la palette des nuances les plus criardes, les fleurs poétiques alors que la nature en est riche alentour.
Cliché I. Rambaud
Ceux-là "se la pètent vraiment" !
Cliché I. Rambaud
Regardez bien autour de vous. Les poètes ne sont sûrement pas tous réfugiés à la campagne...
Merci pour votre lecture ! Thank you for reading !