Mon problème avec Smith & Burrows c’est que j’aime bien la voix de Smith mais pas celle de Burrows. Enfin je l’aime bien aussi, mais je sens qu’elle risque de vite me gaver. C’est comme quand tu manges du riz au lait, tu apprécies les deux premières cuillères mais sais pertinemment que tu voudras vomir à la fin du pot.
Le plus étrange c’est que Tom Smith ne me fait ni chaud ni froid quand il chante pour les Editors, mais là je l’aime bien. Editors est typiquement le groupe pour lequel je n’éprouve que de l’indifférence. Je chanterai faux et fort en entendant les singles de leur deuxième album à la radio (wheeen the tiiime cooomes and you’re no longer theeeeere, The Racing Rats), mais mon engouement s’arrête là.
Ceci me rappelle que je me suis récemment rendue compte que les Editors sont anglais. J’étais persuadée qu’ils étaient de New York, allez savoir. D’ailleurs j’ai dit à mon frère “Hey, les Editors ils sont anglais en fait?”, et il a répondu “Non ils sont américains”, et j’ai dit “On croit qu’ils sont américains mais le piège c’est qu’ils sont anglais”, et il a répondu “Oh”.