Voyons un peu maintenant ce que les organismes internationaux s’occupant de l’énergie pensent de l’avenir de l électronucléaire
« De quoi parles tu donc » ?? me dit le DrSCRONGEUGNEU quandje lui cause, il y a peu, de mes intentions...et ironique et mordant à son habitude il interroge :
« Quoi ?Il existerait donc unMACHIN, pour parler commeDE GAULLE, qui se préoccuperait de l’énergie AU NIVEAU MONDIAL …Et il rajoute , pas du tout convaincu : Tu ne me parles pas de l’OPEP ? tu es sur ???Ou d’un de ces méli- melos de jean-foutres élégants vaguement apparentés à l’ONU ?????
« Non mon vieuxPAS DU TOUT DE L’ONU MAIS DE L’OCDE OUI ! ET VOICI DE QUOI ILS SE TARGENT DE SE MELER...De tout sauf le nucléaire qu ils laissent a l Aiea » !!!!!(copier- coller DE LA PHOTO )
Et a l appui deces intentions je me dois de vous offrir la photo de leurs prévisions jusqu ‘en2025
Je n’ai rien trouvé de plus neuf qu 'un rapport 2010 et il y a fort à parier que les orientations de certains pays vont changer après FUKUSHIMA …. VOICI MALGRE TOUT CE QU ILS LAISSENT PRESAGER SUR LE DEVELOPPEMENTDU SOLAIRE (COPIER- COLLER) : « Selon l’AIE, si les dirigeants prennent des mesures adéquates, en particulier en taxant le carbone, l’énergie solaire jouera un rôle majeur dans la transition énergétique. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) publie ce jeudi de novembre un rapport, « Perspectives de l’énergie solaire » (« Solar Energy Perspectives »), selon lequel le solaire pourrait fournir le tiers de l’énergie dans le monde vers 2060, en comprenant toutes ses formes (photovoltaïque, thermique, fours…).
« En 90 minutes, la Terre reçoit assez de lumière du soleil pour satisfaire ses besoins en énergie pour une année », souligneCédric Philibert, auteur du rapport. Mais si cette énergie est abondante, son utilisation ne représente encore qu’une petite fraction du mix énergétique mondiale, note-t-il.
Interrogé par Bloomberg, Paolo Frankl, qui dirige la branche énergies renouvelables de l’AIE, affirme que « la force du solaire est l’incroyable variété et flexibilité de ses applications, d’une petite à une grande échelle . L’agence inclut dans ses évaluations l’évolution démographique: elle estime que d’ici 2050, environ 7 milliards d’humains, soit 80% de la population mondiale alors, habiteront près de l’Equateur (contre 2 milliards dans les régions plus froides), donc dans les zones les plus ensoleillées.
A SUIVRE