Pas un mot (ndlr : dans la campagne de publicité péquiste) par contre sur le retour au déficit zéro, la réduction de la dette, une diminution de la taille de l’appareil public, une révision scrupuleuse de tous les programmes de dépense ou une remise en question de la pertinence de nombreux organismes gouvernementaux.
Au contraire, dans le monde idéal péquiste dessiné pour nous, on prévoit plus de dépenses, plus de structures, plus d’employés de l’État. Il est par exemple impérieux de rapatrier l’asssurance-emploi du fédéral. Quel projet emballant et mobilisateur! --- Jean-Jacques Samson