LYNCHAGE à la fançaise.

Publié le 30 novembre 2011 par Lovni57

Depuis 2002, lorsque N. Sarkozy accède à la fonction suprême,  les journalistes ne cessent de chercher des “affaires” pour vendre sur le dos de la droite, la gauche est épargnée ou protégée.

Combien de polémiques non fondées n'ont ils lancé. Cela va de l'infidélité de Laporte, Daty, Bruni etc, tout cela sans le moindre fondement.

Combien de critiques sur des lois qui n'existant même pas, combien de mensonge politiques pour discréditer un tel ou tel, toujours de droite.

Combien de mensonges, le plus frappant est celui d'accuser N. Sarkozy d'avoir fait un cadeau aux banques alors qu'il s'agit d'un prêt remboursable avec intérêts qui ont été réglés par les dites banques, aucun tapage sur ce fait.

Les médias montent tout en épingle même s'il n'y a pas lieu, il ne cessent de divulguer des informations partielles des dossiers d'instruction et font monter la sauce sur tout ce qui est susceptible de bouger, ces médias ont perdus toute responsabilité, ces médias font régner une sorte de psychose à l'encontre de tous.
Mais ce qui est vraiment inquiétant c'est que la population prend goût au lynchage comme le font sans cesse les médias.

Et voilà qu'un homme sous curatelle, âgé de 65 ans accompagne une petite fille égarée à l'école, parce que sa mère n'a pas surveillé sa fillette, et bien sur la psychose instaurée par les médias prend place, et ce brave homme qui ne pensait qu'a rendre service, est décrit pour être un pédophile. Cela va jusqu'à en avertir la gendarmerie parce qu'il passe près d'une école et se retrouve  dans un hall d'immeuble où il y des enfants. La gendarmerie appréhende à juste raison cet homme décrit comme un pédophile, cette homme de 65 ans placé sous curatelle n'y comprend rien,  certainement tant apeuré de ce qu'il lui arrive qu'il fait une attaque cardiaque fatale.

Il plus que triste que d'en arriver à de tels extrêmes, que de succomber à la psychose ambiante fomentée par les médias.

Ceux qui ont dénoncés sans preuves dormiront ils tranquille, ou auront ils d'éternels regrets d'avoir indirectement causé la mort d'un pauvre homme tout simplement serviable, je ne voudrai pas être à leurs places .

Les journalistes et médias oseront ils encore se regarder en face, le matin dans un miroir, lorsqu'ils penseront à ce pauvre homme mort par la bêtise humaine qu'eux cultivent. Oui je n'en doute pas, ils vont continuer à faire de la désinformation, et du scandale supposé. Il faut vendre,peu importe les moyens et au diable la conscience, cela fait longtemps qu'elle lui appartient.

Le 30.11.2011.titi280955.unblog.fr