L’une des raisons, hormis son salaire, qui ont convaincu Samuel Eto’o de signer à Anzhi, c’est de pouvoir participer à la construction du club : « Ce sont les dirigeants qui ont le dernier mot. Mais si on m’a fait venir, c’est aussi pour donner mon avis. Donc, je leur donne. A Barcelone et à l’Inter aussi on s’appuyait de temps en temps sur mes connaissances et mon charisme. Mais là, j’ai encore plus le sentiment de participer à la construction d’une équipe » explique l’international camerounais dans les colonnes de France-Football.
Samuel Eto’o ne veut pas pour autant que son club jette l’argent par les fenêtres : « Ici rien n’est impossible. Le propriétaire (M. Kerimov) peut acheter qui il veut. Mais il faut aussi donne envie de venir ici. Et ça, c’est une de mes missions. Mais je n’appelle pas directement les joueurs pour les sonder. Je réponds seulement à ceux qui veulent des précisions et je donne de temps en temps des pistes à Suleyman (Kerimov) et German (Tkatchenko, le bras droit de Kerimov, ndlr) » a-t-il ajouté.