Poursuivons cette exploration visuelle du boîtier externe : 38% de chair de poisson (bof), « élaboré en Lituanie » (tiens…). La phrase stupide collée sur la boîte (« une découverte majeure : le poisson-frite »), un classique des produits Monoprix. Bref tout ça c’est bien mais ouvrons un peu la boîte pour voir ce qu’elle a dans le ventre, pas vrai ?
A première vue, rien que du classique : deux rangées de 6 surimis, sagement collés les uns aux autres. Le double emballage se révèle toutefois peu pratique à manier, des économies ont probablement été réalisées au détriment de la qualité du plastique protecteur. Dommage.
Une fois révélé au grand jour, le bâton de surimi Monoprix brille par une certaine normalité, qui le distingue finalement peu de nombre de ses concurrents. Il semble toutefois plus terne que celui de la gamme Fleury Michon, qui vise il est vrai une clientèle plus branchée.
Verdict ? Un produit intelligemment positionné, une mise en bouche très classique, un consommateur rassuré car trouvant facilement ses repères. Un investissement recommandé mais pas indispensable.