Voici une nouvelle contribution de Céline concernant l’œuvre de Truman Capote. Elle s’attaque cette fois à son roman « la harpe d’herbes ». Encore merci pour ce partenariat fructueux…
Probablement le roman de l’auteur qui s’inspire le plus de sa vie et dans lequel il a réellement versé une partie de lui-même.
Ici, le narrateur est un jeune orphelin prénommé Collin qui a été recueilli par deux soeurs, toutes deux vieilles filles, Véréna et Dolly Talbo. Alors que Véréna est sévère et représente en quelque sorte «l’homme» de la famille, Dolly, elle est d’un naturel plus rêveur, parfois même à la limite d’une stupidité bien vite oubliée lorsqu’on découvre son cœur en or, son plaisir d’offrir et de partager les petits riens de la vie. Elle prépare des potions à base d’herbes pour soulager certains maux qu’elle vend par correspondance. Vivent également avec eux leur bonne, Catherine, une jeune femme toujours effacée mais tellement généreuse.
Un beau jour, une violente dispute éclate entre les deux sœurs et suite à cela, Dolly décide d’aller vivre dans une maison perchée sur les arbres, emmenant avec elle Catherine et Collin. Ce roman raconte leurs aventures bucoliques et les multiples sens que cela réveille en eux…
Magnifique roman où l’on ressent plus que jamais les blessures inhérentes à l’abandon. En effet, même si l’auteur n’était pas orphelin, il a lui-même été plus ou moins abandonné par ses parents et confié aux bons soins de vieilles tantes. Un récit empli de poésie, écrit d’un main de maître par un Truman Capote au sommet de sa forme.
Ici, le narrateur est un jeune orphelin prénommé Collin qui a été recueilli par deux soeurs, toutes deux vieilles filles, Véréna et Dolly Talbo. Alors que Véréna est sévère et représente en quelque sorte «l’homme» de la famille, Dolly, elle est d’un naturel plus rêveur, parfois même à la limite d’une stupidité bien vite oubliée lorsqu’on découvre son cœur en or, son plaisir d’offrir et de partager les petits riens de la vie. Elle prépare des potions à base d’herbes pour soulager certains maux qu’elle vend par correspondance. Vivent également avec eux leur bonne, Catherine, une jeune femme toujours effacée mais tellement généreuse.
Un beau jour, une violente dispute éclate entre les deux sœurs et suite à cela, Dolly décide d’aller vivre dans une maison perchée sur les arbres, emmenant avec elle Catherine et Collin. Ce roman raconte leurs aventures bucoliques et les multiples sens que cela réveille en eux…
Magnifique roman où l’on ressent plus que jamais les blessures inhérentes à l’abandon. En effet, même si l’auteur n’était pas orphelin, il a lui-même été plus ou moins abandonné par ses parents et confié aux bons soins de vieilles tantes. Un récit empli de poésie, écrit d’un main de maître par un Truman Capote au sommet de sa forme.