source de l’illsutration : Cpolitic, avec toutes mes excuses…
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” Ainsi va France Inter, piloté par un directeur qui ne sait pas se contenir, et oubliant l’intérêt général et le pluralisme, se laisse aller à ses haines personnelles. De petites haines recuites. Ainsi va malheureusement, cette grande radio publique, dirigée par un ex-humoriste et ex-éditorialiste dont on ne sait pas bien s’il a sorti une seule information de sa vie ou mené une seule enquête. Est-il seulement journaliste? A l’entendre, on n’en jurerait pas. ” (Laurent Mauduit)
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Après une reprise en main de France Inter dont tout le monde se souvient, suite à l’éviction de plusieurs humoristes (l’un des licenciements a d’ailleurs été jugé sans cause réelle et sérieuse par la justice, ce dont la radio dite publique ne semble pas avoir fait grand cas), nous apprenons qu’à présent Médiapart et consorts sont interdits d’antenne par la seule volonté du grande pape du politiquement correct, j’ai nommé le Sieur Val, Sarkozyste ma foi fort dénué d’humour de son état :
… « d’un seul coup, Philippe Val ne se contient plus et laisse transparaître sa colère contre… Mediapart. Pourquoi contre nous ? Voyons d’abord l’échange.
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« Certains disent que vous avez des idées très arrêtées sur qui doit être invité sur France Inter et qui ne doit pas l’être… Edwy Plenel, par exemple, qui ne serait pas le bienvenu… », demande Emmanuel Berretta.
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« Non, ce n’est pas ça. Tout le monde est le bienvenu. Simplement, ce que j’ai dit aux équipes, c’est de diversifier les points de vue. Pas toujours les mêmes. Edwy Plenel ne peut être l’unique référence du journalisme d’investigation sur France Inter. D’abord parce qu’il n’est pas une référence. Je regrette mais il n’en a pas les qualités ! Quand, dans nos choix d’invités, l’idéologie remplace l’honnêteté que nous devons aux auditeurs qui paient la redevance, alors, oui, je m’insurge. Je suis dans mon rôle. »
La totalité de l’article de Laurent Mauduit est ici… Instructif assurément, sur l’état de la liberté de la presse en Sarkozie comme elle va : mal.
Le service public de l’information ne l’est donc plus… Aux armes, citoyens !
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