Une approche multisectorielle…..

Par Basicinstinct82
D’une approche multisectorielle de la politique à celle alliant le pragmatisme, la disponibilité et la cohérence comme socle des dérives émanant des politiques publiques, y compris les critiques objectivement étanchées et orientées contre les programmes de développement pour lesquels, le FMI et la banque mondiale sont les chantres, on finit par s’apercevoir que la conception et l’esquisse des formes primo définies comme pré requises, pour l’amorce d’un développement harmonieux, durable et souscrivant à une répartition équitable des ressources, s’illustrent à travers, les programmes apportés en correctifs par les mêmes institutions, en vue de pallier, à la fois à l’insolvabilité des emprunteurs par le biais de l’amélioration de la gestion et de la gouvernance, mais aussi et surtout par une conception du développement économique, qui dépasse les clivages et antagonismes d’antan, tient compte des évolutions environnementales dues à la mondialisation et consacre la libre initiative dans la promotion de son propre épanouissement, pourvue qu’à la lumière, du constat se dégageant de l’application des politiques de développement et conformément au souhait exprimés par nous scribouillards de voir les pays en développement, se nourrir de leur échecs, dérives et blocages, pour parfaire leur processus de développement, car pour mieux que les opportunités de développement s’offrent à nous, pour infinis paraîtront notre devoir et notre capacité à pouvoir confronter, notre vision tirée des réalités locales et reposant sur les agrégats locaux, à celle que nous proposent les partenaires au développement.  Ainsi, tous les pays qui ont pus proposer un DSRP( document de stratégie de réduction de la pauvreté) reflétant au mieux leur inspiration interne à surmonter les défis du sous développement, paraissent pour inéluctablement engagés avec des outils cohérents en mains, dans le processus de réduction de la pauvreté, pour le simple fait qu’initialement la FASR fut imposée contrairement aux programmes qui s’en suivirent, d’où une marge de manœuvre conséquente pour faire face à la réalisation objectifs de développement. De surcroît, les pays ayant atteint le point d’achèvement sans avoir pu se dégager un excédent de trésorerie, leur permettant de faire face à leurs dépenses courantes, de sorte à consacrer les apports financiers extérieurs aux projets d’investissement innovant, ne peuvent s’enorgueillir d’une quelconque avancée. Ce lien ci-dessus, vous décrypte, les astuces de la facilité de réduction de la pauvreté et pour la croissance, corrélativement au DSRP et à l’initiative renforcée de PPTE:

http://www.imf.org/external/pubs/ft/fandd/fre/2002/06/pdf/gupta.pdf

Cet autre lien ci-dessous mentionné, met en exergue, une autre initiative des institutions de Bretton Woods, dénommée IADM( initiative d’allègement de la dette multilatérale). Une initiative qui porte ses spécificités, tout en venant s’adjoindrent aux multiples programmes déjà existant. En effet sa spécificité réside dans la définition de ses axes d’intervention en matière d’allègement de la dette souveraine des états contractée auprès des institutions multilatérales, car elle n’allège concrètement que les dettes multilatérales, essentiellement contractées auprès, du FMI, de la BM, et de la banque Africaine du développement et dans le but de servir uniquement la lutte contre la pauvreté. Ne peuvent en bénéficier que les pays ayant atteint le point d’achèvement ou dont le revenu par habitant ne dépassant pas 380$, comme pour ainsi dire que les beaux discours qui nous font croire à monts et merveilles, doivent excluent, au profit d’une réactivité pérenne, en demandant à l’occasion, que soit rendue publique la stratégie de réduction de la pauvreté concoctée par la Guinée, à défaut d’inciter, à une contribution diversifiée pour sa conception…
  http://www.imf.org/external/np/exr/facts/fre/mdrif.htm