En lisant Tranströmer

Par Gerard

En lisant Tranströmer, prix Nobel de Littérature 2011 (un poète Prix Nobel de Littérature !), je suis heureux, emporté même, de n'avoir jamais baissé le pavillon pirate de la métaphore, qu'importe l'incrédulité crasse, l'échec de l'illisible vis-à-vis d'une époque qui exige des faits, chiffres, ratio, commentaires. La métaphore est un voyage, le mouvement même de l'esprit poétique à travers le réel et l'infinie disposition de la diversité. Ecrire sans ce voyage-là ne serait qu'un art de comptable." Adieu vat",  les assis, nous avons choisi paroles de haute mer et de vents plus cinglants !