Nicolas Jones-Gorlin est publié par Léo Scheer, le seul éditeur à m’avoir appelé dans la minute qui a suivi mon mail. L’interview se passe dans sa Galerie éponyme.
Comme la plupart de gens qui ne le connaissent pas, j’imaginais Nicolas Jones-Gorlin plus vieux. C’est un jeune homme, presque, sa voix résonne comme dans une cathédrale. L’interview terminée, il s’enferme pour faire son service de presse, son « SP » : dédicacer son livre aux journalistes à qui il l’envoie.
Nicolas Jones-Gorlin revient sur le scandale de Rose bonbon, les implications sur son travail ultérieur, oppose la violence imaginaire à la violence réelle. D’ailleurs, est-il un auteur à scandale ? Il parle des voix qui l’habitent, de l’identité sexuelle dans ses romans et des relations avec son éditeur.
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