Je rencontre Marie-Hélène Lafon grâce à Patrice Lelorain dans l'un des salons de la Société des Gens de Lettres qui la connaissent bien. Je suis absolument stupéfait par la précision de sa réflexion qui renvoie à celle de son écriture. Cette impression d’être face à un écrivain qui ne lâche rien de la phrase, qui la tient entre ses mains, la travaille et la façonne en orfèvre (c’est l’effet que me donne son oralité), sans craindre de se tenir hors son époque.
Après l’interview, nous restons longtemps à regarder au travers les grandes fenêtres le jardin derrière l’Observatoire dont la pelouse révèle quelques crocus.
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Et aussi : séduite, interviewée, filmée, chroniquée