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Le Premier ministre Viktor Orban avait pourtant assuré que cela ne se reproduirait plus et pourtant, lui comme les autres doit se plier aux réalités économiques et financières actuelles. Mais la Hongrie comme d'autres pays européens membres ou non de la zone euro est victime de la crise de la zone euro et plus particulièrement de l'aveuglement du nationalisme obsolète de son dirigeant. Pour exemples, rappelons diverses taxes imposées aux banques qui font encore polémiques, ou encore celle sur les hamburgers. La crainte que ressent Viktor Orban de ne pas rester maître de son pays lui a fait déclarer que «la Hongrie n'a besoin d'aucun accord de prêt avec le FMI. Si le FMI revient dans le pays, moi je m'en vais». Avec une telle déclaration, le chef du gouvernement hongrois devrait se méfier, certain pourrait lui dire «bon vent». «Par amour de la liberté économique», la situation économique et financière de la Hongrie va mal. Surtout, il faudrait que les violons s'accordent entre le chef du gouvernement et les membres de celui-ci et plus particulièrement avec le ministre de l'Economie György Matolcsy qui de son côté à déclarer que «la coopération entre la Hongrie et le FMI va augmenter et non diminuer la souveraineté économico-financière de la Hongrie». Incohérence ou calculs politiques ? De même, comment comprendre cette autre déclaration de Viktor Orban anti européenne :"On ne peut pas attendre de l’UE une croissance rapide. La Hongrie doit suivre sa propre voie». On est en droit de se demander l'intérêt de telles déclarations. Il y a quelques jours, les agences de notation Standard and Poor's et Fitch ont placé la Hongrie «sous surveillance négative»consécutivement à la mise en place de mesures économiques contraires aux règles de l'Union européenne.Ceci expliquant cela ?
Chez le voisin slovaque, ce ne sont pas les affaires économiques et financières qui font la une des journaux, mais plutôt la démission du ministre de la Défense, accusé d'avoir fait espionné des journalistes et d'envisager la même manœuvre avec le Premier ministre sortant Iveta Radicova qui a d'ailleurs exigé sa démission, affirmant que "la pratique des écoutes de journalistes, légale ou illégale, est incompatible avec les principes de base de l’Etat de droit et de la démocratie". Trois journalistes du quotidien Pravda avaient été mis sur écoute pour avoir participé à la fuite d’informations sensibles du ministère de la Défense.
Six ans après la Révolution orange, l'actuel président de la république ukrainienne interdit toutes commémorations de l'événement afin de ne pas faire de publicité à l'ancien Premier ministre Ioulia Timochenko condamnée à 7 ans de réclusion. Souffrante, celle-ci s'est vu accorder le droit de se faire soigner en dehors de sa prison. Il faut croire que Viktor Ianoukovitch doute de son pouvoir et de la stabilité de son régime. Au moment où la visite de la présidente lituanienne est attendue, servant d'ailleurs de prétexte à cette interdiction de fêter la révolution orange, cette attitude est la preuve d'une marque de faiblesse et une faille dans le système Ianoukovitch.Il aurait été certainement plus pertinent de laisser les Ukrainiens fêter l'anniversaire de la Révolution orange.
La crise de la zone euro continue son œuvre destructrice et touche à nouveau la Hongrie. Trois an...
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"Corentin", premier 33 tours de Jacques Bertin en 1967, première récompense, le "Grand prix d...
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