. Eva Joly ou la chasse à courre
Trop c’est trop. J’ai envie de rebondir. Question de dignité. Besoin d’air. Pas de déontologie, je laisse ça aux chiens-au-pied de la presse, des médias en tout genre et autres thuriféraires de la Sarkozie dégueulasse. Plus qu’un milieu, une fosse à serpents. Forts avec les faibles, léchant les bottes de ceux qui les tiennent en laisse, ils n’informent pas, ils sont les passeurs de plats…
. Comme un boomerang
Souvenons-nous : « J’irai jusqu’au bout », claironnait Prince Jean devant des caméras complaisantes quand papounet se mit en tête de le parachuter à l’Epad. Contre l’avis de ses proches, assez choqués par la manœuvre, la chose provoqua le tollé que nous savons et le courroux de Minimus devant un rétropédalage obligé, fait qui restera gravé dans son quinquennat comme une gifle à son insolence…
. Oh Danieeelle !
Je n’aime pas les hommages, surtout quand tout le monde y va… Quand ça ne sent pas la propreté d’âme. Mais, une fois n’est pas coutume, je craque un brin.
Elle n’était pas sexy, ni non plus l’égérie d’un groupe à la mode, mais elle était gracile, féminine, au point de vous faire oublier les canons de la beauté tels que matraqués par les grandes maisons de mode et autres parfums bling-bling…