Twilight et Contagion – Lexomil sur grand écran

J’hésite presque à vous faire un point ciné tellement il n’y a rien de mémorable à ce que j’ai pu voir…

Commençons par Twilight. Déjà je plombe l’ambiance et vais m’attirer les foudres des cinéphiles qui se respectent. En fait, j’ai bien aimé les bouquins qui sont particulièrement efficaces et prenant (c’est comme le Da Vinci Code, aucun style mais tu le dévores); puis bon, y a un côté envoutant dans cette histoire impossible qui relève du fantasme de midinette.

Un des moments les plus hot - c'est comme ça qu'elle a dû choper un bayybi

Bref, le film est chiant comme on pouvait s’y attendre, il ne s’y passe rien (ils jouent aux echecs pendant la lune de miel!) et même les pseudos scènes de sexe sont d’un cul-cul dramatique. Puis, elle m’agace cette actrice à tout le temps ouvrir la bouche et je ne parle même pas des concepts douteux : un homme-loup s’amourache d’un bébé, les vampires se lancent dans une césarienne avec les dents, après une coucherie la fille tombe enceinte d’un monstre qui la tue de l’intérieur ===> c’est sale le sexe bong sang! Si l’Amérique le dit. … Vous voulez un vrai spoil? Consultez donc mister Odieux qui s’est surpassé sur le sujet (un peu maso ce cher connard).

Passons au second lexomil cinématographique du week end. Attirée par le casting exceptionnel du film Contagion, je me suis laissée tenter par ce sujet catastrophe.

Un virus se propage, on met du temps à trouver un vaccin puis à le produire, peut etre qu’on a d’ailleurs étouffé une solution peu coûteuse afin de faire des profits… Sur ce chantier, une pleiade d’acteurs éparpillés ayant du mal à retenir notre attention. Un gros dommage et tout de même un bravo à la chère Kate Winslet que je trouve toujours incroyable quelque soit le rôle.

Je vais revenir aux films français qui se surpassent ces derniers temps; paraît que miss Laurent a pondu une petite perle.