Maire de la ville de Neuilly-sur-Seine depuis 2008 et conseiller général des Hauts-de-Seine, Jean-Christophe Fromantin nous livre ses coups de gueule, coups de coeur et bonnes résolutions bio et écolos. Une interview exclusive pour bioaddict.fr.
- Etes-vous bio addict ou bio novice?
Bio novice mais " bio curieux " - Le déclic ?
Le bonheur d'un jogging matinal dans la montagne. - Ecolo optimiste ou écolo pessimiste ?
Ecolo-objectif compte tenu du nombre de difficultés économiques et sociales que nous devons surmonter. - La cause écologique qui vous tient le plus à coeur :
La défense du patrimoine et des paysages naturels. - La priorité :
Une politique agricole davantage orientée vers la production biologique. - La personne avec qui vous aimeriez partager un dîner bio :
Avec ma fille qui est une bio addict. - La dernière bonne résolution écolo que vous avez prise ?
J'ai acheté un jean bio chez Monoprix. - La prochaine bonne résolution écolo que vous allez prendre ?
Je vous demande de "ne pas imprimer ce courriel". - Un produit bio dont vous ne pourriez pas vous passer ?
Mon jean bio chaque week end. - Le lieu où vous vous sentez proche de la nature :
En mer ... sans hésitation ! - Votre dernier coup de coeur bio ?
Les framboises du potager de mes parents en Charente-Maritime, 150% bio car les 10 mètres qui séparent le framboisier de l'assiette se font à pied. - Votre dernier coup de gueule écolo ?
Tous les jours quand on me rappelle les sommes que nous dépensons pour palier les incivilités. - Un concept écolo à inventer ?
Le scooter à énergie solaire. - Votre argument imparable pour convaincre un écolo-sceptique ?
Qu'a-t-on fait de plus beau qu'un paysage ? - Un message pour nos lecteurs ?
Ne réduisons pas l'écologie à une série de contraintes, ni à un mouvement politique mais développons dès que nous le pouvons le sens de l'émerveillement auprès de nos enfants. Ils s'ouvriront davantage à la nature, ils deviendront des " écolos convaincus " et découvriront ainsi les vraies dimensions du bonheur.
Propos recueillis par Christina Vieira