Le clivage!!!!

D’une approche participative à celle caractérisant le clivage autour  de la disjonction supposée, si ce n’est désormais avérée, des valeurs qui fondent et illustrent au mieux notre entame de la consolidation, après nous être abreuvée à la source de la déconvenue et avoir élagués les principes d’adéquation des objectifs aux aspirations, nommément tripatouillés aux fins d’adjonction d’une volonté subtilement dissimulée et en travers, de l’ordre prescrit, comme indépassable pour rehausser le bien-être sous toutes ses formes; je revois ma plume se rebiffer et enclencher une autre forme de résurgence des procédés et canevas, susmentionnés, lors que la plate forme commune de résolutions des difficultés, aux origines calfeutrées et embastillées, nous commandait de bannir la dimension insurrectionnelle, des démarches, vouées à transcender la tragédie et les collisions à tenants antagoniques.

Ainsi, telle une avance faite à la dextérité et à l’obédience, le summum des travers et des entraves, somment la conscience collective, à une stratification des actes dûment posés, par le pouvoir à Conakry, en vue de faire ressortir ses prises de position dans sa quête d’un terrain de convergence politique, sa tentative de stabilisation économique et son approche d’une assise sociale au service exclusif du compromis, tout en instiguant à railler à l’image d’un délit d’initié, toutes tentatives d’exclusion d’une interaction harmonieuse des différentes institutions républicaines, les structures de fonctionnement de l’état devant pallier les imperfections et les incohérences qui naissent de la mise en place des réformes, elles mêmes faisant les frais d’une conception assez dés-impactée signalée en temps et en heures, ainsi que la gestation d’un panel revigorant de substitution du mode de résorption des errances politiques à des présuppositions dont l’occultation s’avère imposée en normes didactiques, en modèle de développement économique et esquissée comme perspective de réactivité sociale.

Partant, l’économie étant une donne primo définie comme une source essentielle de réalisation des objectifs de développement, il ne saurait me paraître satisfaisant de se réjouir, lors qu’entrevoyant le cadre de conception et d’élaboration des approches accolées, aux programmes de développement, y compris leur transcription, par extension leur matérialisation,  s’éroder imperceptiblement, sous le poids abject et soudoyant, d’une remise en cause insuffisamment étoffée, tout au plus, sentant, par le biais d’une dissection mesurée, résultante d’un constat à mi-parcours,parce que  susceptible d’en altérer les tenants et les aboutissants avec l’effet d’érosion du temps.

De là, à annihiler le stimulus escompté, et continuer à proposer une alternative, défiant, augurées d’aubaines et de perspectives mettant en valeur les acquis pouvant procéder d’une vision différente, au service de l’idéal collectif de progrès et de développement, s’inscrivent en ligne droite, d’une pensée décloisonnée, affranchie des amalgames, même si je me nourris de frictions et d’appétences, à force de prendre partialement goût à discourir en marge du discours officiel truffées de dérives et de collisions à la sommation prototypée.

Par ailleurs, quoi que, l’engouement se fait jour par le fait d’un reprofilage du postulat politique, les exigences elles, celles qui se logent bien évidemment au creux de la jonction des valeurs s’affranchissent des intrusions sur le champ d’exercice du pouvoir politique et privilégie, la poursuite de la vulgarisation des approches et procédés, lesquels à défaut de mettre à contribution en alternative absolue, mettent à rude épreuve, la vision politique actuelle esquissée par les tenants du pouvoir à Conakry.

à suivre…