Dans une couvée que ce soit une couvée d’oiseaux, dont je connais quelques espèces pour en posséder dans mes volières, et bien oui, dans une couvée j’ai vu des petits plus ou moins fragiles rejetés hors du nid par leur maman afin que celle-ci puisse nourrir les autres.
Comme si celui ci ne pourrait prendre, un jour, son envol. Alors il est facile lorsque l’on connait cela et surtout que l’on a observé et que l’on s’est documenté, il est facile de prendre le petit « rejeté » et de le nourrir à la main à l’aide d’une seringue faite à cet effet.
Ainsi j’ai rattrape, les petits condamnés par une nature que je trouve cruelle.
Lorsque que j’ai écris « Le Secret du surdoué », j’ai fais cette comparaison avec les oiseaux parce que je trouve en effet que le surdoué, tout comme l’oisillon différent des autres, ressemble bien à nos surdoués.
Ensuite, si un oiseau est malade, il se cache pour survivre, dans un premier temps pour échapper à ses prédateurs.
C’est pour cela que dans la nature dès que l’on voit un oiseau malade, c’est déjà trop tard, il est en fin de vie.
Et puis les prédateurs guettent sans cesse leur proie. C’est valable dans cette nature cruelle, mais c’est aussi la loi de notre jungle sociale, ne vous y trompez pas!
La question est : devons nous laisser « mourir » les surdoués ?
La réponse s’impose d’elle-même…
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