La Scène # Die Hard – Piège de Cristal

Courir pieds nus sur du verre brisé, même Yannick Noah ne l'aurait pas fait.

Die Hard ouvre le bal de votre nouvelle chronique, intitulée La Scène. Ensemble, nous allons revenir sur des moments d’anthologie du septième art. Qu’elle soit touchante, drôle, ou impressionnante, on a tous dans nos coeurs des scènes de films.

Il y a peu, je n’ai pas résisté à l’envie de me remettre Piège de Cristal, trop nostalgique pour être heureux, j’ai encore fait le constat que ce film n’a quasiment pas pris une ride. Pour la simple raison qu’il utilise la bonne vieille méthode, à savoir très peu d’effets spéciaux, mais de l’explosion, du verre brisé et des pétards en veux tu, en voilà.

Le mythe Bruce Willis est apparu en 1988 avec ce film de John McTiernan qui est toujours considéré comme le classique du film d’action. Très novateur pour l’époque, il est l’auteur du concept : “Toujours au mauvais endroit, au mauvais moment“. Et lorsque le générique de fin est tombé, je me suis posé la question : “comment choisir une scène parmi ce florilège ?” J’ai hésité avec le dialogue génial entre John McClane et Gruber au talkiewalkie, j’ai failli pencher pour le coup du C4 sur la chaise de bureau. Mais j’ai finalement opté pour le fameux “Welcome to the party, pal“.

Rappel des faits : Prise d’otage au Nakatomi Plaza, John McClane est un insurgé qui tente par tous les moyens de prévenir les autorités. Lorsqu’une patrouille arrive à proximité de la tour, John décide d’employer les grands moyens.