Elus et langue allemande: l’escroquerie

Publié le 20 novembre 2011 par Kalvin Whiteoak

Oser se présenter aux élections fédérales en taisant au public, mais en sachant, qu’on ne maitrise ni l’allemand ni le dialecte est une tromperie grave sur la marchandise.

A Berne, une seule façon de se faire entendre: le dialecte. Le reste est de la théorie.

Si l’on en croit le Matin, nombre d’élus romands récents en sont encore à distinguer péniblement der, die et das.

Tout simplement scandaleux et irrespectueux pour leurs électeurs, qu’ils n’osent prévenir que maintenant de cette lacune majeure.