Oser se présenter aux élections fédérales en taisant au public, mais en sachant, qu’on ne maitrise ni l’allemand ni le dialecte est une tromperie grave sur la marchandise.
A Berne, une seule façon de se faire entendre: le dialecte. Le reste est de la théorie.
Si l’on en croit le Matin, nombre d’élus romands récents en sont encore à distinguer péniblement der, die et das.
Tout simplement scandaleux et irrespectueux pour leurs électeurs, qu’ils n’osent prévenir que maintenant de cette lacune majeure.