Selon lui, la continuation sur une longue période de la guérilla palestinienne aboutira inévitablement à l’effondrement de l’Etat d’Israël. C’est pourquoi, à terme, Tel-Aviv n’a d’autre choix que de « transférer » les arabes Israéliens et les Palestiniens apatrides hors de frontières sûres (c’est-à-dire non seulement hors des frontières de 1948, mais aussi des territoires occupés depuis 1967 et idéalement de Cisjordanie et de la bande de Gaza). Dans la cas où les Européens s’opposeraient à une telle déportation, Tel-Aviv n’aura d’autre choix pour survivre que de détruire des capitales européennes sous le feu atomique, étant entendu que les Européens ne pourront pas riposter sans tuer leurs amis Palestiniens.
L’auteur de The Transformation of War [1] a insisté en soulignant que, d’ores et déjà, des têtes nucléaires israéliennes sont pointées vers Rome et d’autres capitales européennes pour rendre la menace crédible et le « transfert » des Palestiniens possible.
Le professeur Martin Van-Crevel aime à se référer à la devise du général Moshe Dayan, dont il est le biographe officiel : « Israël doit toujours apparaître comme un chien enragé, trop dangereux pour les autres »
Source : VoltaireNet
Union Révolution Citoyenne