Dans un article montrant comment entamer "...la prospérité économique pour changer le social en Ayiti ", il a été expliqué que l'investissement, la consommation locale et le pouvoir d'achat sont cruciaux à la relance économique de toute société (voir Le Nouvelliste du 28 juin 2011). Cependant, tout effort y relatif peut s'avérer vain en absence d'un plan directeur capable de rationaliser la relation qui existe entre ces trois éléments considérés comme les vitesses du levier de prospérité économique. Dans cette perspective, il est juste de reprendre ici l'essence d'un autre texte intitulé 'La nécessité d'un plan directeur pour l'économie Ayitienne' (voir Le Matin 24-25 juin 2007). En attirant l'attention sur l'esprit d'un investisseur qui entend prendre un risque, et en considérant les conditions de l'économie du pays, la réflexion évoque la nécessité d'un plan directeur, puis faire état de sa nature avant d'en esquisser l'ossature.
Le calcul économique de l'investisseur