Oui, ouiiii, on sait, vous nous aimez à La Maison Mijote ! Et nous aussi, c’est fou ce qu’on s’aime. Le 100 ème post, ça se fête quand même, no ?
De toute façon, ce n’est qu’un début… en espérant encore écrire des débilités profondes et des idées superficielles jusqu’au 1000 ème. Mais plutôt que de s’auto-gonfler les chevilles à l’hélium de nos ego (oh my gosh ! Qu’y avait-il dans ce délicieux Fronsac ?!?), on s’est dit qu’il valait mieux vous montrer le pire du meilleur (car ce que vous voyez n’est pas le pire, non, non, ni forcément le meilleur) de ce qu’on aurait pu poster… Hum, hum, à méditer. Le pire du meilleur. Pire que du caviard ? Moins plus plus, ça fait quoi ? J’aurais dû bosser mes maths et ma logique, moi.
Repoussons donc toujours plus loin les frontières de nos indescriptibles « vies normales »… Mon Dieu, Dieu sait qu’on en a vu des lieux, des choses, des gens, des chiens, où on s’est dit en se regardant avec nos grands yeux incrédules : « noooooon, on peut pas poster ça !? »… Mais si ! On peut toujours, la preuve.
F : Oh… voilà le superbe lustre sur lequel on s’est extasié, chez Guerlain… Et dix donx, c’est pas moi derrière ?!
C :
F : Toujours notre copain le lustre, mais avec quelques degrès en plus ; ça change les perspectives, hein. Mais qu’est-ce qu’il avait ce serveur a vouloir nous resservir son sale Ruinart tout le temps hein ?
C : Amoureux, logique. Allez, on s’en prend une dernière ?
C : Ah oui ! Une des plus belles toiles que j’ai découverte sur l’un des balcons du Grand Palais… Faut que je retrouve son nom. En attendant, je me suis laissée aller à la contemplation d’une société de consommation révolue, que l’on observe dans son jus, à l’instar des apothicaires… Visionnaire l’artiste !
F: grave. Superbe. Et c’est trop beau quand t’en parles ma choupi.
F : ça c’est au squat de la rue de Rivoli. Une des oeuvres qu’on a bien aimée, à l’entrée… Mais c’est pas vrai, c’est encore moi derrière ! Mais où est la copine de Charlie ? lol
F : Excellent aussi, ce patchwork d’éléments… Nos yeux ne savaient plus où se poser, et au moins on s’est tu pendant quelques minutes…
C : Le petit groupe derrière était pas mal aussi !
C : Des bouts d’arc en ciel à manger (accessoirement en pâte à modeler) offerts par ma petite nièce…
F : Un truc que t’as mangé sans moi, je suis verte. T’abuses là…
F : Ben là, c’est facile, c’est nous deux, dans le flou complet, à la Fiac, avec notre Pat, notre Patoche, quoi. Notre guide, notre gourou !
C : L’art flou, l’art fluide, LARD FREE !
C : Rue de Rivoli…
F : Oh, un skull. Oh I love it so, meuf.
F : Bon là, ça commence à m’énerver sévère. Genre tu fais des descentes chez Ladurée, et tu ne me préviens pas ???
C : héhé ! Mais c’est pas Ladurée ! Encore meilleurs ! Je te trouve l’adresse rapidos !
C : A la campagne…
F : Oui, Stanou… le petit Prince de la Maison Mijote.
F : Là, je ne vois vraiment pas pourquoi tu as choisi cette photo. Vraiment pas. Non. N’insiste pas. Non. Non. NON !
C : Big UP gégé !
By Clem & Fanie.