Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi est arrivé samedi soir sous les huées au palais du Quirinal où il a présenté sa démission au président Giorgio Napolitano, qui l'a acceptée. Comble de l’humiliation, le Cavaliere a dû quitter le palais présidentiel du Quirinal par une porte dérobée alors que devant l’entrée principale des manifestants applaudissaient et hurlaient de joie en criant « bouffon, bouffon ! ». Sur la place du Quirinal, un orchestre improvisé, dont les musiciens et choeurs s’étaient retrouvés sur internet, avait plus pacifiquement entonné un bel Alleluia de Haendel.
Panem et circenses
Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi est arrivé samedi soir sous les huées au palais du Quirinal où il a présenté sa démission au président Giorgio Napolitano, qui l'a acceptée. Comble de l’humiliation, le Cavaliere a dû quitter le palais présidentiel du Quirinal par une porte dérobée alors que devant l’entrée principale des manifestants applaudissaient et hurlaient de joie en criant « bouffon, bouffon ! ». Sur la place du Quirinal, un orchestre improvisé, dont les musiciens et choeurs s’étaient retrouvés sur internet, avait plus pacifiquement entonné un bel Alleluia de Haendel.
Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi est arrivé samedi soir sous les huées au palais du Quirinal où il a présenté sa démission au président Giorgio Napolitano, qui l'a acceptée. Comble de l’humiliation, le Cavaliere a dû quitter le palais présidentiel du Quirinal par une porte dérobée alors que devant l’entrée principale des manifestants applaudissaient et hurlaient de joie en criant « bouffon, bouffon ! ». Sur la place du Quirinal, un orchestre improvisé, dont les musiciens et choeurs s’étaient retrouvés sur internet, avait plus pacifiquement entonné un bel Alleluia de Haendel.