Christian Bobin nous rappelle au silence
en suivant les vers de Ryokan, le moine au coeur d'enfant :
Pour faire le feule vent qui souffle m’apporteles feuilles d’automne"
"heizei nomimochi ni hoshi yafuro agari
Ah ! si tout le jourje me sentais aussi bienqu’au sortir du bain !"
"yûzen tokusa no makura nirusu no an
Un calme parfaitsur un oreiller d’herbeloin de ma cabane"
Ryokan Taigu