Après le Sénat, la chambre des députés italienne a adopté la loi de stabilité financière, étape qui ouvre la voie à une démission de Silvio Berlusconi et à la formation d’un nouveau gouvernement.
Berlusconi, qui n’a pu obtenir une majorité absolue mardi, a promis de démissionner une fois que le parlement italien aurait entériné la loi de stabilité financière, réclamée par les partenaires européens de Rome pour rétablir la confiance des marchés dans les finances publiques de la Péninsule.
Silvio Berlusconi devrait remettre dans les heures qui viennent sa démission au président Giorgio Napolitano. C’est l’ancien commissaire européen à la Concurrence Mario Monti qui devrait lui succéder.