Voici un autre article consacré à l’évolution de la Suède, de ses années les plus noires, aux périodes qui fondent et magnifient sa grandeur en tant que référence absolue en matière de développement, du fait d’un certain nombre d’indicateurs, qui révèlent assez pertinemment le paradoxe Suédois, à savoir un pays riche avec des impôts élevés, comme pour dire que partout, le capitalisme n’a pas fait que des malheureux.
Un pays qui a su moduler et indexer la pression fiscale, ainsi que le niveau des dépenses budgétaires sur la croissance, sauf que le seul dilemme, reste l’inflexibilité du travail…
Pour peu ou proue, qu’on s’abreuve du modèle Suédois, on finit par s’apercevoir, que corrélativement à son évolution, la Suède est passée du conservatisme au libéralisme maîtrisé, en acceptant de procéder, à des réformes, telles que, la privation de certains secteurs jugés trop onéreux pour l’état, baisser les impôts sur les entreprises, assurer la solvabilité de certaines banques, mettre en place un cadre réglementaire et législatif adéquats, abolir le régime de taux d’échange fixe, accroître les prêts aux ménages etc…..
En partant de cela, l’on doit se dire, moins, le modèle Suédois, c’est le procédé qui l’emporte, quitte à pouvoir y adapter le contexte environnemental….
L\’évolution de la Suède