Pour réduire leurs risques et se conformer à ce que leur demandent les pouvoirs politiques, les banques européennes vendent les dettes européennes, et ne prêtent plus à l’économie et au particulier. Ce faisant elles précipitent la crise, et augmentent leurs risques de faillite. (Les banques européennes attaquent la zone euro - Coulisses de Bruxelles, UE)
Mais peuvent-elles faire autrement ? Classique dilemme du prisonnier.
Dans ces conditions, y a-t-il une autre solution qu’une nationalisation ?