Alors, avec les récents plans ministériels, les changements de gouvernement et la volonté de vraiment taper sur le côté du besoin de santé de la population, l'état à rendues caduc et à appauvrie l'accès aux soins populaires.
La visite à 23euros aux horaires normaux.
Je ne vous dis pas lorsqu'il s'agit de passer en mode "Hors jours ouvrables" on oscille entre 35€ pour de la puériculture et 60€ pour une visite de nuits et/ou à domicile.
Le point noir que représente les remboursements à hauteur de 10euros sur 23 puis les près de 150 médicaments qui ne sont déjà plus remboursables par la sécurité sociale, la création (une bonne chose) de la "C.M.U" carte santé qui permet aux bénéficiaires prioritairement du "R.S.A" (ex "R.M.I") d'avoir la quasi-gratuité sur tous les pôles de la santé.
Des discussions sont alors ouvertes quant aux faites des utilisations et prises en charge de véhicule de transport de soins en mode assise ou coucher) je parle des "Taxis ambulance médicale" qui sont regardées à deux fois avant de vous donner le feu vert.
Que ceux-là soient dus à des transports de suivi médical ou pour un premier rendez-vous pour tels ou tels problèmes, seules sont prises à 100% les maladies vraiment invalidantes (cancer en tête).
Ne parlons pas des abus quoique si je vous donne cette anecdote (que je trouve être une bonne illustration de mon propos) :
Je croise sur une certaine durée une femme à l'arrêt du bus de ville et aux fils du temps nous discutons et elle en vient à me dire être "Agacé", car son médecin traitent ne veut plus lui alloué un taxi ambulance pour aller voir son psychologue.
Je m'interroge donc et lui dis "Mais qu'elle en est la raison ?" et elle me dit fièrement "Il estime que de chez moi sur le stade au cabinet de mon psy il n'y a pas loin et qu'alors que je peux mis rendre à pied" je me permis donc de lui faire comprendre que sont docteur avais toute à fait raison avec soutient d'arguments valable, depuis ce jour elle m'ignore une fois sur deux (rire).
Pour dire une autre anecdote, qui m'est arrivée personnellement un soir lorsque j'eus besoin d'être transporté aux urgences de l'hôpital, ce soir-là donc, ni les pompiers, ni les gendarmes, ni les ambulances n'étaient là, disponibles, pour m'y emmener.
J'y suis donc allée à pied, ce que je trouve lamentable, non ?
Ensuite, quand les urgentistes vous auscultent et vous prescrivent une ordonnance types, ils ne vous restent plus qu'à trouver "LA" pharmacie de garde sur votre ville et/ou votre secteur pour pouvoir vous soigner aux plus vites.
Alors qu'il y a quelques années Bernay avait pas moins de cinq (5) pharmacies de garde, donc, nous étions sauvés.
Le comptage est on ne peut plus simple :
5 pharmaciens en centre-ville, dont je crois deux ont dû fermer, les restantes ce situe, une à st croix - 2 rue Thiers
Puis deux paras-pharmacies dans les deux plus grandes surfaces aux abords de la ville (je parle de celle derrière la gare et celle située sur la commune de Menneval).
Ainsi, aujourd'hui, après avoir redessiné la carte des centres hospitaliers (qui a fait la encore couler beaucoup d'encre) ils ont redessiné la carte des soins "Parallèles" si je puis dire, et ceux aux stricts minimums.
C'est-à-dire qu'aujourd'hui cela et organisé en fonction du médecin de garde de votre ville.
Si le médecin de garde et à Broglie - Serquigny ou je ne sais pas, moi, Thiberville et bien on vous proposera d'aller chercher vos soins médicaux dans les pharmacies les plus proches non plus de votre propre domicile, mais les plus proches des cabinets de ces médecins-là.
C'est-à-dire que, si vous êtes soigné aux urgences de Bernay un soir à 2 h du matin en vous donnent l'ordonnance des soins éventuelle ont vous inviteras à appeler le "3237" et la, après quelques clics et confirmations (en vous précisent que le cout de l'appelle et entre 35 et 50centime la minutes, etc.) de ceci cela on vous dirigera alors partout sauf pour mon exemple à Bernay.
Cela m'est arrivé ont ma dis "Vernon - Thiberville - Louviers" (rire).
Mai dites-moi, pour une personne qui n'a pas de voiture ou qui ne va pas oser déranger son voisin de palier en pleine nuit, ont fait comment ?
Et s'il s'agit de médicaments vitaux ont fait comment, on s'en passe une nuit ?
Les pharmacies avec lequel j'en et un peut discuter s'en les culpabiliser mon toutes sympathiquement signifiais que cela était une "Décision de la préfecture de l'Eure" donc à cela elles sont tenues à obéissances, elles sont obligées de se tenir.
Car je pense qu'être de permanence en roulement, pour ma part je vois l'équation de la manière suivante (mais je sais c'est facile d'analyser ainsi, mais les faits sont tous autres soit) donc, 5 pharmacies = 1 par week-end ça fait bien 5 week-ends non, donc voilà.
Car même l'hôpital qui je crois à une époque subvenait aux ordonnances d'urgence vous fournissiez en médicaments, cela aussi s'est fini.
Le milieu de la santé décline gravement et peut sur le coût nuire à la santé des patients.
Si vous aller voir un médecin qui reçoit lors de permanence et que ce soit un dimanche/jours fériés et/ou de nuits, sachez que vous serait taxé et payerais alors votre visite près de 60euros.
Ce qui ne changeras pas la donne quant au fait de pouvoir avoir s'est fameux médicaments le jour de votre auscultation.
Le trou de la sécu, la crise, le malaise général du milieu de la santé, etc., sont des pancartes brandit dès que le peuple lève la voix pour dires son mécontentement, alors que faire ?
Ne plus être malade ?
Ne plus se soigner ?
Il y a comme un malaise qui monte mes amis.
Si je vous dis en deux mots aussi que le parc de médecins Bernayens s'amoindrit faute de relevé.
Et que certains médecins lors de leurs proches retraitent (dans les deux ou trois prochaines années, fort mérité) ne trouvera alors pas, plus de repreneurs.
Donc, cela fera un cabinet médical de plus qui fermera et fera alors maigrir la liste déjà plus très longue des médecins officiants sur le territoire de Bernay.
Faire des sortes de cabinets uniques regroupent plusieurs médecins, s'en doutes plusieurs spécialisations (dentiste - ophtalmologie, etc., etc.) qui ainsi, officierais en des termes qu'ils disaient, serait à crées, développer.
Je trouver pour ma part que ce serait alors la mort des médecins de proximité, car dans cette idée admettons que le pôle soit défini dans telles ou telles villes/communes pour mon exemple, soit Serquigny, soit la Barre en Ouche comment les gens, les patients pour une simple grippe ou un cancer de ces médecins et/ou spécialistes-là pourrons y aller ?
C'est comme lorsque l'on vous dit pour une installation internet "On vous enverra un mail pour vous prévenir de l'ouverture de votre ligne", mais bande de rigolo si notre connexion n'est pas ouverte comment allons-nous lires nos mails et là, on nous répond par un simple et naïf "Bah, s'est simple vous avais qu'à aller chez un voisin" (rire).
La-vous aller devenir tributaire de vos voisins pour vous emmener vous faire soigner, et parfois même ses passé outre l'idée même de confidentialités des médecins et/ou spécialistes que vous deviez aller voir, chose qui ne regarde que vous tout de même non ?
Donc, en conclusion, je trouve ce genre d'études et de propositions tous bonnement lamentable.
J'aimerais que des permanences de jours de nuits puissent se refaire puisse réintégrer la vie de la cité pour le bien des patients dans leurs globalités et réinstaurer un dialogue entres membres du secteur de la santé dans ça généralité et celui des patients là aussi dans leurs globalités qui sont toujours quelques parts fragilisées face à la maladie (bénigne ou pas) et/ou à une urgence médicales…
(1) Grandes lignes du rapport sur la "Réforme des collectivités locales" sous la présidence de Mr Balladur.
Photographie : "Enseignes lumineuses de diverses pharmacies" trouvées sur "Google" notre ami novembre 2011.