Voulant gagner sur tous les tableaux, les banques européennes se débarrassent des dettes souveraines des pays sous surveillance.
France comprise.
Avec un effet intéressant pour elles de hausse des taux d’intérêt et donc des rémunérations.
On plaide ici depuis longtemps pour leur nationalisation pure et simple au profit des peuples.
Le moment était venu il y a déjà un an. Il n’est jamais trop tard pour bien faire.