Peut-être la plus grande tragédie et en même temps le principal attractif du groupe newyorkais The Drums, qui joueront au Razzmatazz de Barcelone le 16 novembre prochain (http://www.salarazzmatazz.com/op/conciertos/501), est de ne pas être suffisamment particuliers, comme si leur anomalie, ce que les distingue du reste des groupe du panorama actuel, constitue précisément qu’ils n’arrivent jamais à être totalement anomal, malgré le fait que d’une certaine manière ils représentent une certaine étrangeté sur la scène du rock indépendant contemporain. On pourrait dire qu’il y a quelque chose de trop évident en eux y paradoxalement les transforment en un mystère tendrement inquiétant.