Esprits Criminels // Saison 7. Episode 7. There's No Place Like Home.
Je ne sais pas trop ce qui se passe cette année avec Esprits Criminels mais je n'aime pas du tout ça, mais vraiment pas. Je trouve que la série a vraiment perdue tout charme. D'une part les
décors sont de plus en plus laids, ce qui n'aide vraiment pas à entrer dans l'histoire. Rien que les petits décors de fortune tournés dans les alentours de la California ça commence à faire. J'ai
l'impression de voir toujours les mêmes lieux, les mêmes personnages. La série se fait trop redondante. Bon, ok, cet épisode était loin d'être le pire de la série. Il y a un cinglé qui a perdu
son frère dans une tornade et qui du coup, croit en la légende qui dit que la foudre peut prendre la vie mais aussi la redonner. Il y croit tellement. C'est ridicule au fond mais donc très drôle.
Cela va donner lieu à quelques scènes sympathiques, et même si le scénario est bidon, le mec bizarre de l'épisode était tout de même hilarant.
Je crois que Esprits Criminels devient une parodie d'elle même. Cette semaine l'introduction de l'épisode se concentre aussi sur les personnages et notamment J.J et son mari William qui ont un
enfant. Ce dernier est malade sauf que J.J ne peut pas être là car elle est en mission. Après Hotcher puis Rossi, c'est au tour de J.J d'avoir un peu de place pour sa vie privée dans la saison.
Bizarrement cela donne les moments les plus intéressants de l'épisode. Ce n'est pas les meilleurs mais au moins ils proposent quelque chose. Une intrigue. Bien que bâclée. Une fois de plus la
série policière veut trop divertir le public et mélange un peu tout. On est donc face à un scénario plus que brouillon qui n'exploite pas toutes les ressources possibles du sujet. C'était sans
compter le fait que 3/4 de l'épisode se déroule dans la nuit. Une horreur.
Note : 4/10. En bref, quand Esprits Criminels se met à faire comme Twister version cinglé, et en version moche.