On nous parle de franc fort, alors que ce dernier est proche de 1.25. Et bientôt à Fr 1.30, et que ce n’est donc qu’une injuste excuse.
En fait, une occasion unique de faire payer aux travailleurs non pas une compétitivité mauvaise, mais une rentabilité insuffisante en termes de rendement au sens « libéral » du terme.
La crise a bon dos, et les autorités, les PLR Burkhalter et Schneider-Ammann en tête, ne font rien d’autre que de stigmatiser bêtement les dégâts futurs.
En voilà deux qu’il convient d’éjecter au plus vite du Conseil fédéral. Si l’on veut que les choses changent.