Jacques Bourdu propose un plan quinquennal basé sur une diminution des dépenses publiques de 150 milliards et une diminution des recettes publiques de 100 milliards d’euros.
Dans son numéro du 29 octobre 2011, Le Figaro Magazine présente le résultat d’un chiffrage du projet économique des socialistes et de leur candidat effectué par la fondation IFRAP.
Sur 5 ans, il correspond à une augmentation annuelle des dépenses publiques de 150 milliards d’euros et à un accroissement des impôts de 100 milliards.
Dans la monographie N° 24 publiée par Contribuables Associés, en mars 2011, intitulée « Pour sortir de la crise, moins d’impôts et moins de dépenses publiques », Jacques Bourdu, polytechnicien et ancien chef d’entreprise, présente des propositions diamétralement opposées à celles du projet socialiste.
En effet, elles portent pour la 5ème année
- Sur 150 milliards d’euros de réduction des dépenses publiques, contre 150 milliards d’accroissement de ces dépenses dans le projet socialiste
- Sur 100 milliards d’euros de diminution des impôts contre une augmentation de 100 milliards pour le PS
Les recettes sont alors supérieures de 50 milliards aux dépenses. C’est exactement le contraire de ce que proposent les socialistes.
Les dispositifs envisagés concourent à réduire fortement notre endettement, ce que ne fait pas le programme socialiste qui aggrave la situation.
Par ailleurs, la réduction des impôts contribue à accroître la compétitivité de nos entreprises, clé d’une croissance retrouvée, permettant alors de s’attaquer sérieusement au problème du chômage et de la création d’emploi..
Comme le rappelait Robert Mundel, prix Nobel d’Economie : « Les démocraties qui ne diminuent pas leurs dépenses publiques et leurs impôts creusent leur propre tombe ». Ceci est particulièrement vrai pour nous, qui sommes des champions incontestés des dépenses et des impôts.
La monographie précitée précise les opérations à envisager pour obtenir les résultats proposés.
La réduction massive et globale des dépenses publiques de l’Etat, des collectivités locales et de notre système de protection sociale est devenu un impératif. Il s’agit notamment de s’attaquer avec courage à toutes les dépenses inutiles, aux organismes superflus, aux gaspillages dénoncés à maintes reprises.
Réduire les dépenses et les impôts comme nous le proposons est à la base de notre sortie de crise, de la baisse de notre abyssal endettement, du retour de la croissance et de notre redressement économique.
Jacques Bourdu
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