Toutes les planètes du système solaires, les étoiles binaires, les systèmes d'associations d'étoiles contemporaines, sont alignées sur le plan équatorial.
Les astres ne peuvent surgir de façon dispersée et aléatoire autour d'un astre central. Un même phénomène fondateur les organise selon une ligne de force, ce qui implique que les astres alignés demeurent en l'état depuis une origine créative commune. L'alignement des astres du système solaire correspond donc à un phénomène unique et simultané et nous pouvons considérer que cette organisation représente le mode universel de surgissement et de structuration de tous les systèmes d'étoiles.
( l'astrophysique standard ne parvient pas à expliquer pourquoi lors de la fragmentation du nuage géniteur, les astres se truvent reliés sur le plan équatorial alors qu'une distribution aléatoire aurait été plus naturelle !)
La création des embryons stellaires s'effectue le long d'une onde de choc qui traverse et ébranle la substance de l'espace. Tout porte à croire que cet alignement se situe sur le parcours de cette onde. S'agissant des astres du système solaire nous devons supposer qu'il s'agit d'un unique événement ayant donné naissance à la totalité des corps qui le composent. Dés lors, il ne pourra s'agir que d'une onde de choc unique provocant de multiples brisures au sein de cette la substance de l'espace compressée, points de rupture qui sont autant de lieux d'où surgissent les embryons d'étoiles.
Ces points de rupture ne sont pas distribués au hasard et doivent correspondre à des crêtes d'une onde de hauteur variable. De fait, les distances entre les embryons créés doivent relever d'une loi de proportionnalité et ne peuvent être imposées que par un phénomène qui relève du système d'ondes longitudinales.
Or, s'agissant d'un ébranlement se manifestant sous forme ondulatoire, une même énergie initiale comporte son point de densité centrale et un decrescendo symétrique de chaque côté de ce point. Ceci veut dire que nous aurons un astre central toujours le plus massif, un astre d'une masse nettement inférieure qui lui serait en quelque sorte symétrique, et un dégradé de masse que nous pouvons associer par paires de valeur à peu près équivalentes mais non semblables (la différence tenant à la direction d'application de la force de l'onde principale et celle répercutée en retour qui se développe derrière le point de rupture central).
La création se fait de part et d’autre du point central qui donne naissance à l’astre le plus massif. Les astres situés sur la direction principale de la force sont plus massifs que ceux constitués par le choc en retour de l’onde. De fait, la masse des étoiles jumelles ne saurait être strictement identique. Dans le système solaire, Jupiter et Saturne pourraient être appareillés bien qu’il y ait une grande différence de masse entre elles.
Les étoiles se forment par propagation d’une onde de choc au sein de la prématière. De ce fait, la création se fait toujours en nombre, en grappes autour d’un astre central le plus massif. Les étoiles de masse solaire ne peuvent donc jamais naître de façon isolée ( il a été prouvé que les astres solitaires sont très rares).
Ce principe de création en grappes explique pourquoi la répartition des valeurs de masses suit, pour ce qui concerne les systèmes à étoile centrale unique, une loi selon laquelle les astres sont d’autant plus nombreux qu’ils sont moins massifs.
Si on applique ces principes au système solaire, nous aboutissons à 8 planètes de part et d’autre du Soleil créées à l’origine. Mercure (Vénus) et Pluton (Neptune) quittent le statut de planète car il s'agit d’anciens satellites comme la Lune (Terre). Pour plus de clarté nous n'avons pas mentionné sur ce schéma les satellites de Jupiter, de Saturne (Titan) et d'Uranus. ( voir http://jean-jack.micalef.pagesperso-orange.fr/theme_39.html pour la démonstration plus détaillée)