Ce n’était sûrement pas le cas de cette pauvre femme de ménage (ou technicienne de surface pour être plus politiquement correcte!) qui a pleuré toutes les larmes de son corps quand elle a compris la gaffe qu’elle venait de commettre sur une œuvre d’art exposée dans le musée de Dortmund qui l'employait. Elle voit une bassine en caoutchouc au milieu d’un échafaudage au centre d’une grande pièce presque vide. Elle la trouve sale et y remarque plusieurs taches. Elle est payée pour nettoyer, alors, logiquement, que fait-elle sinon récurer le récipient à fond? Je l’imagine toute contente d’elle ensuite!Seulement voilà, il s’agissait d’une œuvre d’art de Martin Kippenberger, évaluée à 800 000 euros et intitulée: «Quand le plafond commence à fuir.» Pleine de zèle, la malheureuse avait oublié l’endroit où elle se trouvait et négligé le règlement des musées qui interdit au personnel de nettoyage de s’approcher à plus de 20 centimètres des œuvres. Heureusement, ayant convaincu tout le monde de sa bonne foi, elle ne sera pas sanctionnée, aux dernières nouvelles.(source : ICI)
"Les grandes oeuvres d’art ne sont grandes que parce qu’elles sont accessibles et compréhensibles à tous" Léon Tolstoï
Ce n’était sûrement pas le cas de cette pauvre femme de ménage (ou technicienne de surface pour être plus politiquement correcte!) qui a pleuré toutes les larmes de son corps quand elle a compris la gaffe qu’elle venait de commettre sur une œuvre d’art exposée dans le musée de Dortmund qui l'employait. Elle voit une bassine en caoutchouc au milieu d’un échafaudage au centre d’une grande pièce presque vide. Elle la trouve sale et y remarque plusieurs taches. Elle est payée pour nettoyer, alors, logiquement, que fait-elle sinon récurer le récipient à fond? Je l’imagine toute contente d’elle ensuite!Seulement voilà, il s’agissait d’une œuvre d’art de Martin Kippenberger, évaluée à 800 000 euros et intitulée: «Quand le plafond commence à fuir.» Pleine de zèle, la malheureuse avait oublié l’endroit où elle se trouvait et négligé le règlement des musées qui interdit au personnel de nettoyage de s’approcher à plus de 20 centimètres des œuvres. Heureusement, ayant convaincu tout le monde de sa bonne foi, elle ne sera pas sanctionnée, aux dernières nouvelles.(source : ICI)
Ce n’était sûrement pas le cas de cette pauvre femme de ménage (ou technicienne de surface pour être plus politiquement correcte!) qui a pleuré toutes les larmes de son corps quand elle a compris la gaffe qu’elle venait de commettre sur une œuvre d’art exposée dans le musée de Dortmund qui l'employait. Elle voit une bassine en caoutchouc au milieu d’un échafaudage au centre d’une grande pièce presque vide. Elle la trouve sale et y remarque plusieurs taches. Elle est payée pour nettoyer, alors, logiquement, que fait-elle sinon récurer le récipient à fond? Je l’imagine toute contente d’elle ensuite!Seulement voilà, il s’agissait d’une œuvre d’art de Martin Kippenberger, évaluée à 800 000 euros et intitulée: «Quand le plafond commence à fuir.» Pleine de zèle, la malheureuse avait oublié l’endroit où elle se trouvait et négligé le règlement des musées qui interdit au personnel de nettoyage de s’approcher à plus de 20 centimètres des œuvres. Heureusement, ayant convaincu tout le monde de sa bonne foi, elle ne sera pas sanctionnée, aux dernières nouvelles.(source : ICI)