D’un point de vue politique, l’annonce d’un probable accord sur le nom du futur premier ministre du gouvernement de coalition grec a permis de
rassurer les marchés financiers. De plus, le plan de rigueur de 7 milliards de dollars envisagé par François Fillon pour permettre à la France de garder sa note ‘AAA’ apporte également des
certitudes supplémentaires. Enfin, la rumeur d’une démission de Silvio Berlusconi est également plutôt bien accueillie.
D’un point de vue économique, les mécanismes qui permettront au FESF de passer à 1000 milliards d’euros sont aujourd’hui un peu plus connus.
Ainsi, une assurance partielle des nouvelles obligations de la zone euro et des contributions extra-européennes ont été avancées.
D’un point de vue technique, l’indice parisien reste au-dessus de son creux du 3 novembre (proche de la zone de support à 3000 points). Tant que les prix sont au-dessus de cette zone, une reprise est envisageable.