Je signaler aussi que se plaindre que ceci cela était ni fait ni à faire (pour l'installation des bancs pour attendre le bus) que des démarches ont était faite vers la mairie vers la société des bus, etc., pour avertir de la crainte et d'un risque éventuel et dire que tout le monde s'en fou fait la "Sourdes oreilles" ça va cinq minutes.
s'est revendications là se font avec réflexion et maitrise de soit et non avec envahit verbales qui pourrait sonner à certaines oreilles (ayant autorité sur le problème) plus comme de l'agressivité gratuite qu'autre chose.
Alors oui, il y avais jusqu'alors dans ce dossier un manque flagrant d'intérêt des acteurs de ce problème (mairie - société loueuse).
Mais bon.
Prenons les choses dans l'ordre.
Quelques questions importantes sont à se poser :
1 - A qui incombe l'autorité pour faire sévir la sécurité dans ses bus là ?
2 - Qui est le demandeur du service et qui doit rendre le service loué ?
3 - Qui peut, dans une espèce d'urgence, ramener le calme sur ce problème majeur.
Car, d'après les dires de certains clients :
1 - La ville et responsable et fait une sorte de politique dite de "L'autruche" idem à l'endroit de la société "Véolia".
Le problème est-il de réellement savoir à qui incombent là où les pseudos fautent ou la question ne serait-elle pas plutôt celle-ci :
"Quelles réelles solutions radicales et rapides peuvent être apportées à ce dossier ?".
Le maire tout d'abords a fait savoir qu'il avait eu vent de ce souci et sur ma page "Face Book" en répondant à la discussion lancer il a proposé, une première solution que l'on peut voir comme urgente et momentanée.
C'est-à-dire d'envoyer tous les lundis matin vers 7h30 - 8h00 (car c'est ce seul jour la que se souci et vécue) un agent assermenter (ASVP)-(1) de la ville pour dans un premier temps calmer le jeu.
À savoir que le dicton qui dit "L'habit ne fait pas le moine" et pour notre cas on ne peut plus que vrai.
Je veux dire par là que ses agents assermentés non aucune autorité autre que celles de la parole, de mettre des contraventions et enfin de faire la circulation aux sortis des écoles, s'est tous.
Ils n’ont aucune autorité policière et juridique réel.
Quand un souci, un conflit se lèvent ils ne peuvent alors faire qu'appellent aux services de gendarmeries qui ont eu, ont toutes autorités pour statuer de ceci cela.
Plus concrètement s.v.p., lisez ceci :
"Une assermentation habilite personnellement un agent à prêter son concours à la recherche, à la constatation d’infraction et parfois à la constitution de la preuve par l’établissement d’un Procès-Verbal. L’assermentation est un moyen offert aux collectivités pour mettre en œuvre les pouvoirs de police ou notifier des actes (exemple d’une mise en demeure)" (2).
Cette chose, étant dite (rire), la mairie a donc dit qu'elle enverrais un de s'est agents assermentés tous les lundis pour apporter le calme.
Ce qui fut constaté par les chauffeurs à ce que l'ont m'en à relaté.
Ensuite, je crois personnellement que prioritairement c'est plus à la société loueuse du service ("Véolia" - "VTNI") d'assurer un minimum de sécurité tant aux chauffeurs qu'aux usagers, non ?
La société des bus de ville qui est ici monter du doigt à contacter la mairie il y à plusieurs semaines pour discuter d'un plan éventuelle.
Et la mairie à donc recadrer le discours pour clarifié tout cela.
Alors, après (de mon côté) leur avoir envoyé un mail auquel ils ont sympathiquement répondus, voilà ce qu'ils ont prévu de faire pour enrayer et clore, si possible, et se définitivement, ce souci lattent.
Alors, à mes questions qui sont développées plus haut dans cette seconde partie d'article, ils ont donc décidé ce qui suit :
1 - Demande à la ville de Bernay l'appui d'un agent pour assurer une présence régulière dans ce véhicule.
2 - Nous allons également faire intervenir les contrôleurs pour verbaliser si besoin les personnes en infraction et leur rappeler les risques d'exclusion du service qu'ils encourent.
et enfin,
3 - Nous allons enfin demander l'appui de l'établissement scolaire (Lycée Clément Ader) pour qu'un dialogue s'instaure avec ces jeunes afin d'éviter toute escalade. (3).
En espèrent évidemment ici que tout cela ne soit pas que des promesses et que cela tiennent pour actes acquis qui ferais alors montre de la volonté de ladite société des bus de ville de respecter les doléances remonter par leurs chauffeurs celles-ci émanant des usagers de ces bus-là.
Alors, quand il y a un problème plutôt que de chercher à tout prix un coupable éventuel (toujours la mairie la fautive, rire) tentons de chercher des solutions autres qui seraient de l'ordre du possible.
J'ai lancé moi-même au début de l'été 2011 l'idée de créais une association "Des usagers du bus de ville" tout comme il existe celle des usagers de la gare.
sachez qu'à l'heure d'aujourd'hui aucune des personnes à qui j'ai soumis l'idée à dis "OK on se lance".
Car je reste convaincue que 10 - 20 - 30 voix sont plus fortes et plus écouter qu'une seule.
Ensuite, le second souci où le bât blesse, c'est la cohérence du propos entre tous.
"Chauffeurs - usagers - instances".
Il me semble aussi y avoir un manque de coordination entre les chauffeurs qui se promènerait entre rigueur (parfois extrême) et laxisme (à tout va)
Car pour ma part, est cela a toujours était mon avis, ils ont eus un certain laxisme, une certaine façon d'être qui a fait que, d'une certaine manière, leurs malheurs peu peut-être, venir de la ?
je ne porte ici aucun jugement d'estime sur le travaille des chauffeurs entends que tel que l'ont soit clair.
Je parle ici du fait dû aux copinages qui peut ou à pus s'installer entre tous et une partie des usagers.
Je suis évidemment pour une certaine légèreté de ton, une certaine forme de sympathie qui crée un lien moins morne, moins froid.
Nous ne sommes pas à Paris ou le chauffeur serait enfermé dans une cage de verre, nous sommes ici dans un rapport entre gens de bonne compagnie, car "On n'est pas des sauvages tout de même)-(4).
Mais, je me demande aujourd'hui s'il ne faudrait pas, du moins, s'il n'aurait pas fallu dès le départ (il y a près de 20ans dates de naissance de se services de bus) de cadrer une bonne fois pour toutes les choses, que chacun soit à sa place chauffeurs - clients ?
Ensuite, parfois, je le vois, il s'installe une familiarité qui, aux dires des chauffeurs eux-mêmes, leurs déplait et des que ceux-là recadrent un tel ou un tel voilà qu'ils deviennent limite agressifs.
Je disais encore sur ma page "FB" que soit la ville instaure l'idée d'avoir un flic à chaque arrêt, dans chaque bus pour instaurer une tranquillité de vie au sein de s'est véhicules.
Soit la société (loueuse) impose la présence d'un agent contrôleur dans chacun des deux bus sur les 8heures de travaille pour clarifiais et ramené la paix au sein des bus.
Voilà ce qui sonne plus claire et devrais se vérifier dans les prochains jours - semaines.
Alors, au final, qu'elle et la solution ?
Je ne suis pas détenteur de la réponse, qui à la fin de cet article à l'air d'avoir était trouver me semble-t-il.
Donc voilà, pour ma part, moi, j'essaie simplement d'ouvrir des pistes, des champs de discussions entres les usagers (pour ce problème récurent) s'est tout.
Car lorsque je demande franchement aux personnes qui houspillent contre s'est faits :
1 - "Quelles réponses avaient vous ?"
2 - "Quelles solutions avaient vous ?"
la plus personnes ne sait quoi me répondre.
Ce qui me laisse à penser que l'on s'est voir là où ça va mal, mais qu'en fait ni vous ni moi n'avons de réelles solutions fiables et avec un taux de 90 % de faisabilité.
Alors, la solution serait-elle de supprimer définitivement cet arrêt, au risque de handicaper ceux et celles qui sont des habitués à cause d'une minorité ?
Si suppression de cet arrêt il y avait, ne serait pas dire à ceux incriminés "Vous avait gagnés ont à supprimé ici" et demain alors ?
Se sera à quels arrêts de bus de subir le même sort ?
Car si nous commençons à supprimer un arrêt ici nous trouverons toujours de quoi "Gueuler" là pour un souci à tel autre et tout ira à vau-l'eau comme ça.
(1) "ASVP" ou "Agent de Surveillance de la Voix Publique".
(2) Extrais d'un fascicule nommé "Bulletin d'informations juridiques" publiais par la "Direction de l'administration générale des services juridiques" en janvier 2009 pages 4.
(3) Propos tiré d'un mail de correspondance entre la responsable marketing pôle Normandie de la société "Véolia - VNTI" et moi-même en date pour leur réponse du 3 novembre 2011 fessant suite à un premier mail de ma part envoyez lui le 21 octobre 2011.
(4) Phrase extraite d'un sketch de "Popeck" comique franco-juif des années 1970.
Photographie : "Arrêt de la gare du bus de ville" par le citadin octobre 2011®©.