Relativement au énième plans de rigueur rendu public, ce jour par F Fillon, pour juguler les déficits publics, je trouve d'emblée que la réduction des dépenses étant une nécessité absolue, mais non, une opposition doctrinale au concept de bien être, la première des économies, doit consister, non plus à développer l'assistanat je suis d'accord, mais encore moins, les ponctions qui font baisser le niveau de vie, car à beau faire des économies et se prémunir contre les dérives économiques, la finalité demeure et reste, la satisfaction inhérents à l'existence humaine, d'où, une exigence à revoir, surtout du côté des dépenses militaires, les exonérations injustifiables et privilégier les choix qui rétrécit le fossé entre les différentes classes sociales. Les retraites, dont la réduction du déficit est chiffrée à 200 millions courant 2012, pour un déficit estimé entre 70 et 100 milliards à l'orée 2050, se pose en terme de hiérarchisation des priorités, lorsqu'il faut cibler les secteurs devant supporter les effets de réduction du déficit. Quand à la baisse du budget de l'état, par le fait de la baisse des actifs boursiers, rien de surprenant, vue la situation actuelle, lorsqu'on le voit, "inviter français et entreprise à un effort équitable", geler une catégorie d'impôts, notamment sur le revenu, les fortunes, la succession, tout en procédant à la modulation de l'impôt sur les sociétés, dont le capital dépasse 250 millions. On le voit et on le sent, très préoccupé par la situation sociale, en voulant aligner la revalorisation des prestations sociales, sur l'inflation et le taux de croissance, soit une prévision de 1%... Plan de rigueur