Desperate Housewives // Saison 8. Episode 7. Always in Control.
J'entends déjà des claviers ragés de ce que je m'apprête à écrire car oui, je trouve encore et toujours des qualités à la série. Est-ce un défaut ? Non. Si vous êtes aussi attaché que moi à
Desperate Housewives alors vous pourrez mesurer ce que c'est que d'être fan d'une série et d'y être attaché et d'y trouver toujours quelque chose de bon. Alors oui, j'ai les vieilles peaux dans
la peau - parallèle bizarre, je vous rassure ma peau est toujours jeune et belle, je n'ai pas encore dépassé leur âge -. Que puis-je y faire ? J'ai tenté la cure de désintoxication, ça n'a pas
fonctionné pour moi malheureusement. Désolé mes chers détracteurs, détestant ces femmes au foyer, moi je les aime, bitches. J'ai fais mon troll des trolls, je suis bien, je vais mieux. Bref, ce
nouvel épisode était excellent. Si si. Et vous devez me croire car c'était vraiment sympathique, prenant et divertissant. Je n'ai jamais demandé à Desperate Housewives d'être parfaite, bien au
contraire, ce son ses propres défauts qui la rende encore plus attachante. Une série parfaite de cette acabit aurait été trop lisse, et Desperate Housewives est tout sauf lisse.
Tout d'abord parce que Susan, derrière ses intrigues de pinceaux trempés - pas ce que vous croyez - a bien quelque chose derrière la tête. Notamment révélé enfin son secret, ce qu'il y a d'enfoui
en elle. Même si ce cliffangher n'est pas le meilleur de la série il permet surtout de nous angoisser encore plus. Car cet épisode ne fait pas que mettre Andre dans la confidence, il met aussi
Ben. En effet, nos 4 amies apprenaient que le corps avait été déterré sauf que… c'était bien Ben qui en était la cause. Bizarrement, je sais qu'au fond Ben est le maître chanteur - il doit
sûrement avoir une connexion avec Martha Hubbert ou quelque chose, elle avait pas un fils ? - et c'est même logique. Rien que son allusion au fait qu'en cachant ce meurtre il pourrait demander en
retour des services à Bree et à ses amies. Pourquoi pas. En tout cas, j'aime l'idée. Non, j'adore. Charles Mesure trouve enfin un rôle intéressant. Rien que le face à face entre Ben et Chuck
était priceless. Le retour de ce dernier pourrait beaucoup apporter à la suite de la saison.
Mais ce n'est pas qu'elle, c'est aussi Celia qui mange ses spaghettis avec les pieds de sa Barbie, ou encore Juanita qui escroque sa mère et va écrire "Gays r stupid" sur la porte de leur garage.
Renee est toujours au second plan mais là pour dès son apparition faire rire. Elle est forte et ce personnage me plaît. La fin de l'épisode est sûrement ce qu'il y a de plus passionnant : la
séparation des 4 amies petit à petit. Susan est déçue de ses 3 amies de ne pas lui avoir dit pour le corps dans la foret ET pour la lettre. Lynette va en faire de même car elle ne savait pas pour
la lettre. On a donc un groupe éparpillé, un Mike encore plus impliqué. Petit à petit les éléments s'imbriquent pour transformer les amitiés en ennemies. Mais pourquoi diable Desperate Housewives
est-elle aussi bonne dans cet épisode ? Tout simplement parce que tout ce qui fait son essence est là, et tout ce que j'aime dans la série aussi. Alors certes Susan et Andre c'est caca, mais
voilà, ça reste sympa - pour la première fois - malgré tout.
Note : 9/10. En bref, voilà ce que j'adore et je chéri, meilleur épisode depuis le début de la saison.