Dans le principe, Castleville est un jeu social et par voie de fait orienté casual, dans le sens pas trop prise de tête. Or, à la vérité, mais c’est logique puisqu’il n’y a pour le moment aucun joueur sinon celui de notre présentateur, l’univers présenté était bien vide. Ce qui ne fut pas dramatiquement gênant dans la découverte des quelques principes de base de la chose.
Il faudra notamment vous préoccuper de votre « royaume », en construisant : des maisons qui garantiront la loyauté de vos sujets, des murs d’enceinte pour vous protéger d’engeances maléfiques ou certains bâtiment qui mettront pécule dans vos poches. L’entraide sera le terreau de votre progression dans l’univers très cartoon de Castleville. Les vieux de la vieille, ceux qui auront déjà englouti leur vie sociale (et voulu engloutir la mienne) dans le monde réel au profit de relations par écran interposés – sur Farmville et/ou Cityville -, ne seront donc pas (trop) perturbés.
J’aimerai vous dire des tas de trucs supers, vous rassurer quand au prix (0 €, ça c’est fait), vous parler du système de crafting, des portails disséminés sur la carte, des achats in-game parce qu’il faut bien se nourrir, ou moult conneries hors-sujet [Nd tatie Hermione : et pas toujours drôle] mais … on va laisser tout ça pour le test, si test il y aura. Sinon, la mise en orbite est prévue pour d’ici une semaine à l’autre ce qui vous laisse un peu de temps pour faire tourner la nouvelle. Et je sens que ça va tourner ; malgré vous.