Les subtils et sémillants informaticiens vaudois ont, semblent-ils, corrigé eux-mêmes tout seuls comme des grands garçons ce cher Votelec, le logiciel admirable utilisé lors de la cacade du premier tour des élections fédérales.
On craint donc le pire pour le 13 novembre.
Certaines communes éloignées de la capitale ont déjà fait l’acquisition de pigeons-voyageurs qui sont soumis à des « stress tests » depuis une semaine, au cas où la rustine se révèlerait encore pire que le statu quo.