Bonjour !
Vous en avez sûrement entendu parler ? Ou lu ?
Mais vous voudriez plus de renseignements ?
Vous ne savez pas encore que faire ce week-end ?
Allez au Festival Théâtral, c'est un BON PLAN.
Dans 41 villes et 62 structures du Val d’Oise
31 spectacles dont 7 créations
128 représentations
Un large choix de spectacles vous attend. DONT :
le 06/11/2011 - Spectacle
16h30 Le Figuier blanc - catégorie B - durée 1h20
Spectacle programmé dans le cadre du 29e Festival théâtral du Val-d’Oise.
Avec 1973, Massimo Furlan transforme en comédie musicale d’aujourd’hui un souvenir d’enfant : le concours de l’Eurovision 1973. Cette année-là, ils étaient dix-sept pays, dix-sept chanteurs dont Massimo Furlan endosse le costume, la personnalité, dans un numéro virtuose où se mêlent burlesque, poésie et nostalgie.
Telles des Madeleines de Proust, les chansons nous renvoient à nos propres souvenirs, à nos émotions intimes. Il y a beaucoup de finesse et de délicatesse chez cet inventif loufoque, passionné depuis toujours par le travail sur la mémoire. Ce n’est pas pour lui la reconstitution d’un show ringard, mais l’occasion d’interroger un
événement populaire, de parler d’hier et d’aujourd’hui, de la télévision d’antan qui n’était pas encore passée à la moulinette de la standardisation et de l’audimat. Inclassable, iconoclaste, Massimo Furlan, dans un méli-mélo de chansons et de bouts de conférences, réinvente l’Eurovision et convoque notre part d’enfance.
Bonjour !
Vous en avez sûrement entendu parler ? Ou lu ?
Mais vous voudriez plus de renseignements ?
Vous ne savez pas encore que faire ce week-end ?
Allez au Festival Théâtral, c'est un BON PLAN.
Dans 41 villes et 62 structures du Val d’Oise
31 spectacles dont 7 créations
128 représentations
Un large choix de spectacles vous attend. DONT :
le 06/11/2011 - Spectacle
16h30 Le Figuier blanc - catégorie B - durée 1h20
Spectacle programmé dans le cadre du 29e Festival théâtral du Val-d’Oise.
Avec 1973, Massimo Furlan transforme en comédie musicale d’aujourd’hui un souvenir d’enfant : le concours de l’Eurovision 1973. Cette année-là, ils étaient dix-sept pays, dix-sept chanteurs dont Massimo Furlan endosse le costume, la personnalité, dans un numéro virtuose où se mêlent burlesque, poésie et nostalgie.
Telles des Madeleines de Proust, les chansons nous renvoient à nos propres souvenirs, à nos émotions intimes. Il y a beaucoup de finesse et de délicatesse chez cet inventif loufoque, passionné depuis toujours par le travail sur la mémoire. Ce n’est pas pour lui la reconstitution d’un show ringard, mais l’occasion d’interroger un
événement populaire, de parler d’hier et d’aujourd’hui, de la télévision d’antan qui n’était pas encore passée à la moulinette de la standardisation et de l’audimat. Inclassable, iconoclaste, Massimo Furlan, dans un méli-mélo de chansons et de bouts de conférences, réinvente l’Eurovision et convoque notre part d’enfance.